KAMPS

Epuration des eaux rejetées par les zones habitées et les industries, avant qu’elles soient renvoyées dans le cycle naturel de l’eau.

Aérateur à axe horizontal et muni de pales.

Turbine lente (40-60 RPM) qui oxygène et mélange la boue activée.

Apport d’oxygène nécessaire à la dégradation des substances polluantes par les micro-organismes.

La technologie Rotating Biological Contactor dévelopée par KAMPS

Marque de l’aérateur de surface lent à haut rendement développé par KAMPS.

Actual Oxygen Transfer Rate : Masse d'oxygène par unité de temps dissoute dans un volume d'eau par un système de transfer d'oxygène fonctionnant sous des conditions données de température, pression, puissance et concentration d'oxygène dissout.

L’apport horaire en oxygène standard est la masse d’oxygène transférée par heure dans les conditions standard (Température de l’eau T = 20C°, pression barométrique p = 1 013 hPa, concentration nulle en oxygène dissous).

L’apport spécifique brut standard est le rapport entre l’apport horaire en oxygène standard et la puissance électrique absorbée aux bornes du moteur (P, kw) mesurée pendant l’essai.

Support pour les systèmes de biologie fixée rotative (RBC)

Mélange de boues et d’eau riches en bactéries et activé par aération, ce qui permet la dégradation des substances polluantes

Trade name DHV : fossé d’oxydation avec turbine lente à arbre vertical

Appareil utilisé dans les centrales de production d’énergie, et dont la fonction est d’ôter les gaz des eaux d’alimentation des chaudières, pour éviter entre autres la corrosion des métaux.

Ensemble de grilles où les matières volumineuses de l’effluent d’une station d’épuration sont retenues. Les dégrilleurs peuvent être manuels ou automatiques.

Processus qui vise à diminuer le volume des boues en excès à évacuer des STEP, en retirant l’eau qu’elles contiennent. Ce processus s’effectue à l’aide de filtres-presses, filtres à bandes ou encore tables d’égouttage.

Membranes poreuses permettant de transférer de l’oxygène dans l’eau. Le rendement d’oxygénation dépend notamment de la profondeur d’immersion , du piping et du type de surpresseur. Le rendement de ce type d’oxygénation est fortement influencé par le facteur alpha et la maintenance des diffuseurs. Le rendement est donc plus aléatoire que pour les aérateurs de surface.

Support pour les systèmes de biologie fixée rotative (RBC)

Eaux usées domestiques, urbaines et industrielles rejetées, et qui sont reçues par les stations d’épuration.

Rapport entre le Kla T et le Kla 20, il exprime l'efficacité de transfert d'oxygène en eau usée par rapport au transfert en eau claire.

Rapport entre la puissance (ou couple) du réducteur et la puissance (ou couple) de l’arbre lent de l’aérateur.

Rapport entre la puissance (ou couple) du réducteur et la puissance (ou couple) du moteur.

Système de filtration de l’eau par le sable, où le sable filtrant est nettoyé en continu, assurant ainsi une plus haute qualité de filtration.

Phénomène physico-chimique au cours duquel les matières en suspension dans l’eau forment des flocons, favorisant l’agrégation de la boue. Cette phase de traitement de l’eau est indispensable afin de faciliter l’évacuation et la déshydratation des boues en excès de la station d’épuration.On utilise à cette fin des agents dits floculants, tels des métaux (aluminium, fer) ou des macromolécules (polyélectrolytes) afin de favoriser cette agrégation des boues. Ce phénomène peut également se produire naturellement, notamment avec les argiles.

Chenal dans lequel les boues sont transportées horizontalement et oxygénées par le système d’aération.

Coefficient de transfert d'oxygène à T=20°C en eau claire en 1/h

Coefficient de transfert d'oxygène à la température de l'essai en eau usée, en 1/h

Le lagunage est une technique naturelle d’épuration des eaux qui consiste à établir un écoulement lent des eaux usées dans plusieurs bassins de rétention peu profonds, en s’inspirant des systèmes naturels d’épuration par des micro-organismes, des algues et des plantes aquatiques. Les lagunages peuvent être aérés par des turbines lentes pour accélérer les processus biologiques.

Eaux usées complexes et fortement polluées résultant de la percolation de l’eau de pluie à travers les déchets, mais résultant également de processus biologiques, physiques et chimiques ayant lieu au sein même de la décharge. Leur composition révèle notamment de hautes valeurs de conductivité, DCO, DBO, anions, cations, ammoniac, métaux lourds…. et dépend de nombreux facteurscomposition des déchets, âge de la décharge, conditions météorologiques…

Membranes de type « extérieur vers intérieur » à fibres creuses immergées, présentant des pores microscopiques, ne laissant passer aucune particule en suspension ni aucune bactérie vivante.

Système d’oxygénation de l’eau

Fait de rendre l’eau propre à la consommation.

Ensemble des étapes qui permettent de supprimer de l'eau les éléments qui gêneraient les phases suivantes de traitement. Les principales étapes sontle dégrillage et le tamisage qui permettent de retirer de l'eau les déchets insolubles tels que les branches, les plastiques…. ; le dessablage par décantation ; le dégraissage (généralement par flottaison des huiles).

Partie d’un mécanisme qui a pour but de modifier le rapport de vitesse ou/et le couple entre l’axe d’entrée et l’axe de sortie de ce mécanisme.

Technologie de boue fixée rotative alternant immersion et émersion. OUT : la biologie respire, IN : la biologie se nourrit de pollution

Installation permettant le relevage de l'eau vers un point stratégique (Station de traitement ou réseau d'irrigation).

Site où sont développées un ensemble de techniques qui consistent à purifier l’eau pour recycler les eaux usées dans le milieu naturel.

Tamis de pré-traitement de l’eau qui permet la rétention de particules fibreuses (cheveux…).

Turbine lente (40-60 RPM) qui oxygène et mélange la boue activée dans une station d'épuration.

Procédé de filtration de l’eau où la fonction de séparation eau/solides est assurée par des membranes poreuses.